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L’Union Européenne a créée l’étiquette-énergie en 1994 afin d’informer le public de la consommation d’énergétique des appareils domestiques, par là même, les coûts d’utilisation.


L’étiquette-énergie donne les informations habituelles des appareils, marque, modèle, etc, mais elle donne aussi la consommation d’électricité et d’eau, la classe énergétique représenté par une couleur, de vert à rouge, associant une lettre de A à G, A représentant un appareil économe et G, un appareil peu économe. Les consommateurs peuvent donc faire un achat en connaissance de cause, tout en gardant en tête qu’il y a des variations entre deux appareils différents notés pareillement.


Elle est obligatoire pour tout les gros appareils tels que les réfrigérateur, lave-linge, sèche-linge, four, climatiseurs et même, depuis 2006, sur toutes les nouvelles automobiles mises en vente. Mais les petits appareils robots-ménagers ne sont pas encore soumis à cette obligation. Cependant, les ampoules y sont soumises.


En mai dernier, l’Etat Français a même signé une convention avec les agences immobilières afin qu’elles s’engagent à faire paraître sur leurs annonces les performances énergétiques des logements (concernant la consommation d’énergie et les émissions de gaz à effet de serre). C’est en fonction de son isolation qu’un logement consommera plus ou moins d’énergie


Cependant l’association des Amis de la Terre souligne que les personnes déterminant actuellement la consommation d’énergie des logements ne sont pas assez qualifiés. L’association insiste encore sur le fait que la rénovation thermique entre chaque transaction immobilières devrait être obligatoire.



Sources / En savoir plus :

Diverses informations sur l’étiquette-énergie sur le site Eco21 (21.11.2007)

“L’étiquette-énergie : comment bien la lire” sur le site de l’internaute (29.09.2006)

“L’étiquette-énergie/CO2 désormais obligatoire sur tout les véhicules à la vente” sur le site du Ministère Français de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de l’aménagement du territoire (09.05.2006)

Un exemple d’étiquette-énergie/CO2 sur le site de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME)

L’étiquette-énergie des logements sur le site des Amis de la Terre (19.05.2008)

L’échouage de deux cargos, au sud de l’Espagne, le week-end dernier a provoqué une mini marée noire. Le cargo “Fedra” et le cargo “Tawe” se sont échoués suite à des accidents.


Les associations écologistes dénoncent ces faits, tandis que le gouvernement de Gibraltar assure que la majorité du fioul s’est évaporé en mer, laissant les côtes sans risque de pollution.


Le Fedra, cargos de transport général, s’est échouché après s’être rompu en deux, provoquant une nappe d’hydrocarbures qui semble s’étendre dans la mer d’Alboran. Environ 150 tonnes de fioul se sont échappées du cargo mais le gouvernement de Gibraltar assure que les côtes ne seront pas polluées.


Le gouvernement a également déclaré que la prochaine étape serait d’extraire les 150 tonnes de fioul qui restent dans les réservoirs du cargo, mais qu’il ne s’attendait à aucun événement significatif en matière de pollution.


Au même moment du côté deAndalous, le cargo Tawe qui contenait 1000 tonnes de fioul s’est également échoué. Là encore, l’un des deux réservoir aurait laissé s’échapper des hydrocarbures légers dans la baie d’Algésiras.


Le gouvernement Andalous a immédiatement mis en place un plan d’urgence afin de lutter contre des éventuelles arrivées de fioul sur les côtes.


Actuellement c’est entre 300 et 400 mètres de plages dans la baie d’Algésiras qui ont été touchées.


L’association Ecologistas en Accion déplore la répétition des accidents dans cette région, qui malheureusement est souvent sujette à ce genre de problèmes. En février dernier, après un autre échouage, l’association a dénoncé la mauvaise gestion des autorités portuaires du Détroit de Gibraltar.


Sources / En savoir plus :

L’article sur le site Enviro2b (13.10.2008)

L’article sur le site Metro France (12.10.2008)

L’article sur le site de TF1 (12.10.2008)

Le Conservatoire du littoral, membre de l’Union Mondiale pour la Nature (UICN), est un établissement public créé en 1975.


Il acquière des terrains fragiles ou menacés dans le but de protéger définitivement ces espaces naturels et paysages, sur les rivages maritimes et lacustres.


Il s’occupe de faire des travaux de remise en état lorsque cela est nécessaire. Puis, il en confie la gestion aux communes ou autres collectivités qui doivent assurer une gestion dans le respects des orientations arrêtées.


Il détermine également, à l’aide de spécialistes, la manière d’aménger les sites pour que la nature y soit la plus belle et la plus florissante possible. Ils définissent ensemble les utilisations agricoles ou de loisirs compatibles avec ces objectifs.


Au 1er juin 2008, le Conservatoire assure la protection de 117 200 hectares sur 600 ensembles naturels, représentant environ 1000 km de rivages maritimes.


Les sites sont surveillés et entretenus par environ 150 gardes recrutés par les collectivités locales et les organismes gestionnaires, auxquels s’ajoutent environ 300 emploi-jeunes.

La Ford T a cent ans cette année ! Née en 1908, il s’agit de la première voiture populaire de l’histoire et du constructeur Ford. C’est aussi avec cette voiture que sont inaugurées les méthodes de travail à la chaîne.


Henry Ford a su, en 1908, déceler les besoins des populations, voyant que les véhicules ne devaient pas s’adresser à une seule catégorie de gens. Son prix bas joue en faveur de sa popularité. 825 dollars à ses lancements, et grâce à la production de masse, le prix tombe jusqu’à 260 dollars.


La Ford T est d’une construction simple et fiable. Pas de pompe à eau, à essence ou à huile dans cette voiture : autant de pannes évitées. Mais en plus, Henry Ford a laissé la possibilité d’alimenter la voiture soit en essence, soit à l’ethanol !


Mais à cette époque, la production d’éthanol à partir de biomasse était limitée, pour des raisons techniques, à la conversion en alcool des sucres simples directement disponibles sous forme soluble (canne à sucre, betterave, fruits) ou de l’amidon (céréales). Uniquement des éléments comestibles.


De nos jours, de nouvelles technologies sont disponibles afin de produire du bioéthanol en transformant la biomasse lignocellulosique (bois, herbe, paille et autres déchets agricoles, etc.)


Par exemple, si un hectare de canne à sucre produit environ 25 tonnes de sucres simples et 8 tonnes de molasses, il produit également entre 50 à 60 tonnes de biomasse non comestibles mais toutefois potentiellement convertibles en éthanol.


Cela représente aujourd’hui un avantage considérable. car la biomasse lignocellulosique est accessible financièrement et disponible en quantité. De plus, cela évite d’utiliser des éléments comestible pour fabriquer du carburant.



Sources / En savoir plus :

“La Ford T a cent ans” sur le site Techno-science (15.10.2008)

“Ford T (1908-1927), la dame en noir”, fiche de collection sur le site Caradisiac

Des informations sur le bioéthanol sur le site de l’EPFL (Ecole polytechnique fédérale de Lausanne - Suisse)

D’autres informations sur le bioéthanol sur le site Plate-forme biocarburants

Nous sommes entourés d’appareils électroniques. Certains fonctionnent au courant, d’autres nécessitent des piles.

Les piles contiennent des substances chimiques toxiques qui sont nocives pour l’environnement. Une pile bouton contient du mercure et si elle est jetée en pleine nature au lieu de la ramener aux points de collectes, elle pollue 1 mètre cube de terre et 1000 mètres cubes d’eau, et ceci, pendant 50 ans !

Elles polluent les eaux souterraines si elles sont jetées en décharge et si elles sont incinérées, elles dégagent des gaz toxiques pour la santé.

Depuis 2001, la loi oblige tout les vendeurs de piles à récupérer celles-ci une fois qu’elles sont usagées et à les recycler.

En France, chaque année, c’est environ 600 millions de piles qui sont utilisées. Seul un tiers de ces piles sont collectées et finalement recyclées.

En tant que consommateurs, notre devoir est de favoriser le recyclage des piles en ramenant systématiquement nos piles usagées. Il est toutefois plus judicieux encore de privilégier les piles rechargeables, réutilisables de 400 à 1000 fois. Il existe même, de nos jours, des chargeurs de piles pour piles normales, donc à priori non rechargeables. Cet appareil permettrait de recharger 10 à 15 fois des piles non prévues à cet effet.

L’idéal reste encore de minimiser un maximum sa consommation de piles car la production, la consommation et la destruction ont un impact très négatif sur l’environnement.

A titre d’exemple, une pile alcaline nécessite 50 fois plus d’énergie pour la fabriquer que ce qu’elle fournira pendant toute sa durée de vie.

Source / En savoir plus :

“Ne jetez plus vos piles à la poubelle” sur le site Verdura - le portail du développement durable (non daté)

“Recyclage : la solution contre les piles” sur le site Consoglobe

Maintenant, tout le monde devrait le savoir : les ampoules classiques consomment 4 fois plus d’énergie et dure 10 fois moins longtemps que les ampoules à incandescence. Alors pourquoi continuer à vendre et à acheter des ampoules classiques ?

Voilà en gros le débat qui animait jeudi dernier l’Assemblée française, réunie pour discuter d’une loi visant à retirer de la vente les ampoules classiques.

C’est donc à partir de 2010 que les ampoules considérées à forte consommation d’énergie seront retirées de la vente.

Cette disposition a été votée dans le but de réduire la consommation d’énergie globale pour atteindre l’objectif : améliorer de 20 % l’efficacité énergétique. Mais en plus d’utiliser d’une manière plus judicieuse les ressources énergétiques, privilégier les ampoules à basse consommation est un bon moyen de faire des économies.

Sources / En savoir plus :
“Energie : adoptez des ampoules à basse consommation” sur le site Consoglobe (non daté)
Tableau d’équivalence en Watts entre ampoules à basse consommation et ampoules classiques
Le site Planète ampoule, regorgeant d’informations concernant l’éclairage.

Le Mouvement pour le Droit et le Respect des Générations Futures (MDRGF) s’inquiète. Et pas sans raison puisqu’après avoir étudié attentivement la compositions des fruits, légumes et céréales produits par l’Union Européenne en 2006, ils y ont trouvé un pourcentage de pesticides de 50 %.


C’est peut-être ce qui fît réagir les Ministères de l’Agriculture et de l’Ecologie qui la même année a sorti un plan interministériel de réduction des risques liés aux pesticides sur la période de 2006 à 2009.


Mais le MDRGF s’insurge. Selon eux, ce plan n’est pas ambitieux et ne propose que des demi-mesures sans réel impact. Le plan ne prévoit pas une réduction de l’utilisation des pesticides mais une réduction des quantités vendues de substances actives les plus nocives.


Le plan prévoit également de continuer à faire des études plus poussées concernant l’impact des pesticides, alors que des centaines d’études ont déjà été faites, partout dans le monde sur ce sujet, qui démontre la dangerosité des pesticides pour les utilisateurs autant que pour les non utilisateurs. Les pesticides pourraient être à l’origine de cancers, de malformations congénitales, de cas d’infertilité, etc.


En septembre dernier, les Limites Maximales en Résidus (LMR) de pesticides dans les aliments ont changées et malheureusement, la limite légale a augmenté de façon spectaculaire. Cette règlementation a été mise en place dans le but d’harmoniser les normes alimentaires dans toute l’Union Européenne.


Elles peuvent être jusqu’à près de 40 fois supérieures à celles jusque là tolérées en France pour certaines molécules et certains aliments.

Sources / En savoir plus :

Le site officiel du MDRGF ainsi que leur avis sur le plan interministériel (28.06.2006)

Le plan interministériel de réduction des risques liés aux pesticides sur la période 2006-2009, sur le site du Ministère de l’Ecologie

Un article sur le site de presse Viva (non daté)

L’association HQE, littéralement Haute Qualité Environnementale, a été créée en 1996 et regroupe des organismes publics et collectifs, tout les acteurs de l’industrie du bâtiment, dans le but de développer ensemble une qualité environnementale dans le monde du bâtiment.


L’association veut améliorer la qualité environnementale des bâtiments existants, développer celle des nouveaux bâtiments, la gestion environnementale des opérations de construction ou d’améliorations.


La certification HQE désigne, en indiquant des cibles d’écoconstruction, la qualité environnementale des produits et matériaux utilisés. Les 14 cibles démontrent les relations harmonieuses du bâtiment avec son environnement immédiat, le choix intégré des produits, systèmes et procédés de construction ou encore l’éco-gestion.


Cependant, un texte de l’ARESO (Association Régionale des Eco-constructeurs du Sud-Ouest), partenaire du réseau Ecobâtir, présente la certification HQE comme une manière plutôt économique qu’écologique de faire marcher le commerce du modernisme, recommandant par exemple la pose d’une prise pour un sèche-linge plutôt qu’un balcon pour faire secher sa lessive.


Le texte met en garde contre cette certification qui semblerait pousser à consommer ce qu’il ya sur le marché sans innover réellement dans un domaine écologique ainsi qu’une tendance à aller dans le high-tech, en dotant les logements d’appareils de plus en plus éléctronisés, consommant donc de l’énergie pour nous faciliter la tâche.

Sources / En savoir plus :

Le site officiel de l’association HQE Texte parlant de la HQE, produit par l’association ARESO partenaire du RÉSEAU écobâtir à l’adresse du Conseil Economique et Social, sur “le logement social écologique, acteur majeur à instaurer d’ urgence” .

Un article sur le site Actu-environnement, au sujet du lancement de la certification NF Logement démarche HQE (02.01.2008)

La présentation du réseau Ecobâtir

Sur le territoire de l’Europe des 27, quelques 177 millions d’hectares sont recouverts de forêts, soit 42 % de la superficie totale de l’Union Européenne.


En tête dans la liste des pays les plus boisés nous trouvons la Finlande avec 77 % de son territoire boisé. A l’inverse l’île de Malte représente le pays le moins boisé avec à peine 1% de son territoire. La France possède 17 millions d’hectares de forêts.


73 % des forêts européennes sont exploitables pour la production de bois.


Ces statistiques ont été présentées par Eurostat, dans le cadre de la semaine européenne des forêts, qui a lieu cette année du 20 au 24 octobre. Cette semaine a lieu pour nous aider à mieux comprendre l’importance de nos forêts et la valeur de leur utilisation.


Les forêts stabilisent les sols, offrent un habitat à la faune, purifient l’air et les eaux, piègent les gaz à effet de serre, créent des revenus et des emplois et offrent des milieux forestiers pour les loisirs. Elles fournissent du bois.


Le bois est aussi une source d’énergie à faible émission de carbone, qui nuit moins à la planète que l’utilisation de combustibles fossiles déclinants. Sa production nécessite moins d’énergie et dégage moins de CO2 que celle de tout autre matériel de construction utilisé habituellement. De plus, le bois continue à emmagasiner le carbone tant que la construction reste intacte. Utiliser donc du bois plutôt que du béton, du plastique ou de l’acier pourrait contribuer à la diminutiondes émissions de gaz à effet de serre.

Sources / En savoir plus :

L’article sur le site du Monde (20.10.2008)

Le site officiel de la semaine européenne des forêts

L’ADEME, Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie, est un établissement public placé sous la tutelle des ministres de l’Ecologie , de l’Energie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire et de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.

L’ADEME participe de diverses manières au développement durable de la société française. Elle informe et sensibilise le public, diffusant des campagnes de communication dans le but de faire évoluer les mentalités et les habitudes de consommation.

Elle apporte également un soutien dans l’animation et le financement de programmes de recherche et participe à la constitution de systèmes d’observation pour mieux connaître l’évolution des filières.

L’ADEME joue aussi un rôle de conseiller pour aider les acteurs socio-économiques à orienter leurs choix vers le développement durable.

Les domaines d’intervention de l’ADEME sont très divers : changements climatiques, économie d’énergie, air, bruit, déchets, transports, bâtiments, etc.

Par exemple, dans le domaine du bâtiment, elle intervient pour promouvoir la maîtrise de la demande d’énergie et développer l’utilisation des énergies renouvelables. Mais également pour améliorer la connaissance de la qualité de l’air intérieur et réduire les nuisances, notamment le bruit et les déchets de chantier.

Dans le domaine des transports, les actions de l’ADEME se placent dans une optique “transporter moins, transporter mieux” notamment en proposant de favoriser le retour aux modes de transports moins polluant. (ferroviaire, fluvial, transports collectifs)

l’ADEME est présente sur la scène internationale marquée par la mise en œuvre des engagements pris, aux plans européen et mondial, pour la lutte contre le changement climatique et en faveur du développement durable.

Sources / En savoir plus :
Le site officiel de l’ADEME d’où toutes les informations ont été tirées

Dans les réponses proposées à cette question il y avait le MEDEF

Marrade !!!

Le MEDEF est pour le développement durable ... des parachutes dorés.

Trois explorateurs britanniques, dont Pen Hadow, le célèbre aventurier du grand Nord, qui parcourut seul, le premier et sans assistance, le pôle Nord au départ du Canada, partiront en février prochain afin d’aller mesurer avec exactitude l’épaisseur de la calotte polaire en Arctique.

Normalement prévue pour 2008, mais repoussée pour permettre aux scientifiques de mieux prendre part à l’expédition, les explorateurs partiront depuis le Canada. Ils parcourront alors quelques 1200 kilomètres afin d’arriver vers le Pôle Nord géographique et y recueillir des échantillons de glace et de neige, ainsi que pour mesurer l’épaisseur de la glace en prélevant des carottes de glace.

L’équipe devra affronter des températures pouvant aller jusqu’à moins 50 degrés Celsius. Il est aussi prévu qu’ils nagent dans des eaux glaciales en tirant des traineaux insubmersibles.

Ce projet a pour but de combler les diverses lacunes dans les données dont disposent actuellement les scientifiques. Les seules données actuellement dans les mains des scientifiques sont issues des satellites et sous-marins qui ne sont pas capables de faire la différence entre la glace et la neige.

La mesure de l’épaisseur de la glace pourrait permettre aux scientifiques d’évaluer la durée de vie de la calotte polaire avant qu’elle ne disparaisse.

Sources / En savoir plus :
L’article sur le site France 24 (21.10.2008)
L’articlesur le site NouvelObs, traitant du départ prévu en février 2008 (29.10.2008)

Selon certaines études, les sacs à usage unique sont utilisés en moyenne 20 minutes, puis incinérés ou dispersés dans la nature où il leur faudra jusqu’à 400 ans pour se dégrader.

Chaque année en France, 17 milliards de sacs plastiques à usage unique sont distribués en caisse, soit 80′000 tonnes de déchets qui iront dégrader l’environnement.


En 2004, la quantité de sacs à usage unique distribués a diminué de 20 %, mais les grandes surfaces, par peur de perdre de la clientèle sont revenus en arrière et proposent à nouveau des sacs non biodégradables, à usage unique.

En octobre 2005, les députés français avaient proposés d’interdire la distribution et la commercialisation des sacs et emballages en plastiques non biodégradables. Ceci devait entrer en vigueur en janvier 2010.

Mais finalement, la Commission avait estimé que l’interdiction des sacs de caisse en plastique non biodégradable était incompatible avec la règlementation communautaire pour des raisons d’entrave à la liberté du commerce.


Cependant, même si ils ne seront finalement pas interdit, l’ADEME estime l’usage prioritaire que les sacs soient fabriqués en matière réutilisables avec pour objectif la diminution du nombre de sacs jetables.

Puis, cette année, un amendement a été proposé : une taxe sur les sacs plastiques non biodégradables. Cette taxe pourrait s’élever à 0.15 € par sac de caisse et 0.10 € par sac de fruits et légumes. Cela permettrait certainement de réduire la consommation des sacs plastiques.

Cet amendement doit encore faire l’objet d’un vote en séance publique dans le cadre du budget 2009.

L’ADEME précise toutefois que si les sacs biodégradables constituaient une amélioration notable vis-à-vis de l’environnement, ils n’étaient pas synonymes d’absence totale d’impact sur celui-ci.

Sources / En savoir plus :

L’article sur le site LCI (22.10.2008)
L’article sur le site Actu-environnement, au sujet de l’écotaxe sur les sacs plastiques non biodégradables (28.02.2008)
L’article sur le site Actu-environnement, au sujet de l’interdiction des sacs et emballages plastiques initialement prévue pour 2010 (14.10.2005)

La population mondiale ne cesse d’augmenter, elle devrait atteindre 9,2 milliards d’individus en 2050.

Cela pose un problème crucial à l’humanité : celui de sa nutrition. En effet, si la population ne cesse d’augmenter, la surface de terres agricoles à quant à elle tendance à se réduire.

De nos jours, 10 millions de personnes meurent chaque année de faim ou de maladies induites par la famine. Il est donc primordial de rechercher une solution pour faire face à ce problème auquel est confronté l’humanité et qui s’aggravera au fil des années.

C’est l’objectif du projet « Nutritious rice for the world » sur lequel travaille le groupe « Computational Biology Research » de l’Université de Washingtown.

Le but de ce projet est d’améliorer le rendement et la qualité nutritionnelle du riz par l’utilisation de la technique d’hybridation intelligente. Pour cela, les chercheurs souhaitent mettre en place un dispositif permettant de déterminer la structure des protéines composant une variété de riz pour ensuite pouvoir les sélectionner en fonction leurs propriétés. L’hybridation consiste donc à faire un croisement naturel entre différentes espèces de riz.

Alors que le riz est l’aliment de base pour la moitié de la population, ce projet permettra d’aider les agriculteurs à créer des variétés de riz plus productives et plus riches en nutriments afin de nourrir la population mondiale en prévision.



Sources / En savoir plus :
World Community Grid Alliance Francophone des Projets BOINC

Aux côtés des numéros traditionnels du cirque tels que le jonglage, les funambules ou les clowns, on y voit des représentations de dressage d’animaux sauvages comme l’éléphant ou le lion.

De telles représentations de cirques, même si elles sont légales sous certaines conditions en France, suscitent la polémique.

En effet, ce type de numéro pose le problème de la détention d’animaux en cage dans des conditions qui ne sont pas adaptées à leur besoins essentiels.

D’autres aspects liés à l’utilisation d’animaux dans les cirques sont dénoncés comme certaines méthodes de dressage mais également leur transport au cours duquel certains peuvent mourir du fait de conditions inadaptées.

Pour toutes ces raisons, certains pays européens comme l’Autriche en 2005 ont choisi d’adopter une loi interdisant la détention d’animaux sauvages.

A l’image de la politique de protection des animaux menées par ces pays, la Maire de Montreuil, Dominique Voynet, a donc choisi d’interdire les représentations de cirque utilisant des animaux afin de préserver le bien être de ceux ci. Derrière cette décision, il y a la présence et l’activisme des associations de protection des animaux qui tirent l’alarme sur la situation.
En savoir plus :
Article du Figaro
Site One Voice
Site de la SPA

L’automobile constitue une part importante de la pollution atmosphérique à cause des émissions de gaz à effet de serre qu’elle génère.

Elle est donc une cause importante du réchauffement climatique. Toutefois, le taux d’émission de gaz à effet de serre, notamment le CO2, dépend des modèles de voitures.

Lors du Grenelle de l’environnement, une mesure a été prise afin de privilégier l’achat de véhicules plus « propres » et rejetant moins de gaz à effet de serre. Il s’agit sur système de bonus écologique ou écobonus.

Lors de l’achat d’une nouvelle voiture, une réduction sur le prix est effectuée s’il s’agit d’un véhicule émettant moins de 130grammes de CO2 par kilomètre. Le montant de cet écobonus varie selon les émissions de CO2 : plus les émissions de CO2 sont faibles, plus le montant de la réduction est élevé.

L’écobonus peut ainsi aller de 200 euros jusqu’à 5000 euros pour les voitures électriques.

Sources / En savoir plus :

La liste des voitures concernées par l’écobonus :
Fonctionnement de l’écobonus
Le site du Ministère de l’Environnement :

Greenpeace, la Fondation de l’Energie et le Fonds mondial pour la nature (WWF), ont fait une étude intitulée “Le vrai coût du charbon”. Selon cette étude, les coûts, en Chine, représentent 249 milliards de dollars.


L’économiste et principal auteur de l’étude, Mao Yushi explique que “les dégâts environnementaux et sociaux provoqués par l’utilisation du charbon en Chine sont sous-estimés en raison des failles du marché et de la faiblesse des réglementations”


Si l’on incluait tout ceci, la pollution de l’air et de l’eau, de dégradation de l’écosystème, les frais d’entretien des infrastructures, les pertes humaines aux coûts, il seraient encore bien plus élevés !


La Chine a une dépendance énergétique au charbon. Elle tire 70 % de son énergie de la houille (roche combustible fossile). De plus, elle importait en 2007, 51.02 millions de tonnes de charbons.


La Chine est, avec les Etats-Unis, le principal pollueur mondiale.

Sources / En savoir plus :

“Le vrai coût du charbon en Chine” et “La Chine importe de plus en plus de charbon” sur le site Aujourd’hui la Chine

C’est le constat qu’établit le WWF dans son rapport intitulé “Planète vivante 2008″, à partir de deux mesures étudiant parallèlement l’état de la biodiversité et les pressions de la consommation humaine sur les écosystèmes.

Ces deux mesures sont respectivement l’Indice planète vivante et l’Empreinte écologique. Le rapport révèle que “la demande en ressources vivantes de la planète dépasse maintenant la capacité de régénération de la planète de 30%”, d’où le constat très alarmant que l’humanité aura besoin de 2 planètes comme la Terre pour subvenir à ses besoins en 2030 !

Ce bilan est d’autant plus critique du fait que l’on apprend dans le rapport que “l’empreinte écologique de l’humanité a plus que doublé entre 1961 et 2005 en raison de la croissance démographique et de l’augmentation de la consommation individuelle”.

Il est donc urgent de tout mettre en oeuvre pour inverser la tendance et réduire notre empreinte écologique car l’avenir de l’humanité dépend strictement de l’avenir de la planète. Le WWF démontre que l’humanité a les capacités matérielles de diminuer son impact sur l’environnement par le biais du développement des énergies propres, par la réduction des consommations individuelles… Seule une prise de conscience globale et rapide est indispensable.

Pour savoir quel impact sur la planète a votre comportement au quotidien, l’association propose à chacun de calculer son empreinte écologique sur son site.

Sources / En savoir plus :
Sur le rapport “Planète vivante 2008″
Pour calculer votre “empreinte écologique “

Rouler avec comme carburant de l’huile de friture usagée ? C’est un Marseillais, Christophe Oudelin, qui a découvert que cela fonctionnait. Suite à sa découverte, et conscient de son importance, Christophe Oudelin a fondé l’association “Roule ma frite”.




Alors que nous traversons la crise du pétrole, l’huile de friture apparaît comme une alternative insolite. Pour faire le plein, il suffirait d’aller se ravitailler dans les restaurants qui eux, seraient très contents de se débarrasser de cette huile usagée. Pour qu’un véhicule fonctionne avec ce carburant, il suffit d’apporter une légère modification au moteur.

Pourtant, ce substitut au pétrole reste interdit en France. Le MEEDDAT justifie cette interdiction par le fait que les moteurs, spécialement ceux des véhicules récents, ne sont pas du tout adaptés à l’utilisation de l’huile de friture. De plus, ils affirment que les émissions sont plus polluantes que les émissions de gazole.

Selon une étude établie par l’ADEME et l’institut français du pétrole, l’huile de friture brûlée dégage plus d’émissions de CO2, mais moins de pollution d’oxyde d’azote et d’hydrocarbures, son bilan global serait donc moindre, selon certains écologistes, puisque la plante en aurait consommé avant.

Pourtant, une directive européenne de mai 2003 autorise l’huile de friture comme carburant, directive non transposée en droit français.

Cependant, à partir du milieu de l’année prochaine, le petit train de l’île d’Oléron pourrait être autorisé à rouler à l’huile de friture. Pour
l’instant rien n’est confirmé, cependant, le secrétaire d’Etat de la Charente-Maritime, chargé des transports au ministère de l’Ecologie, Dominique Bussereau, assure que “ses services sont en train de préparer un protocole pour autoriser ce procédé a titre d’expérimentation”.

Il souhaiterait “la démultiplication du modèle sur l’ensemble du territoire national”. Notamment dans les zones touristiques, où frites et beignets sont très prisés par les vacanciers. La preuve: “A la fin de la saison, sur l’île, on récupère plus de 15 000 litres d’huile usagée.

Sources / En savoir plus :
“L’huile de friture : un succès polémique” sur le site Enviro2b (19.08.2008)
“L’huile d’Oléron, carburant du futur ?” (31.10.2008) et “Le plein de friture” sur le site de l’Express (29.03.2007)
“L’huile de friture : du restau à votre moteur” sur le site Ecolopop (24.05.2007)

Après un an de travail entre les différents collèges (ONG, collectivités, employeurs et syndicats) et l’Etat dans le cadre du Grenelle de l’Environnement, une première loi a été adoptée le 21 octobre 2008 : c’est la “loi Grenelle Environnement”.

Cette loi prévoit, parmi d’autres mesures, que les cantines publiques devront servir 20% de nourriture provenant de l’agriculture biologique d’ici 2012. L’objectif est de développer les techniques de production agricoles respectant l’environnement et de privilégier les produits “bio” dans la restauration collective.

L’agriculture biologique est un mode de production utilisant des pratiques culturales respectueuses de l’environnement. Elle permet de préserver la qualité des sols, de la biodiversité, de l’air et de l’eau; notamment du fait que les pesticides, les engrais et les OGM sont bannis de ce mode de production. En effet, les agriculteurs “bio” privilégient la lutte biologique, la rotation des cultures , l’engrais vert…

De plus, du point de vue de la santé, il n’est plus à prouver que l’agriculture biologique livre des produits plus sains et dont les teneurs en vitamines et en oligo-éléments sont plus élevées.

En France en 2007, la surface agricole utile consacrée à l’agriculture biologique était de 2%. Cette mesure permettra donc d’augmenter ce chiffre et peut être d’atteindre la part des surfaces agricoles “bio” de l’Italie qui a le pourcentage le plus élevés en Europe : 8%.

Sources / En savoir plus
Sur les principaux points de la loi Grenelle de l’Environnement
Sur l’agriculture biologique et ses avantages

Le phoque annelé de Saimaa est une espèce rare d’eau douce qui vit uniquement dans le lac d’où il tire son nom : le lac Saimaa, qui se trouve en Finlande.
Actuellement, 260 individus sont établis dans le lac Saimaa, qui est le plus grand lac de Finlande et le cinquième plus grand d’Europe.
Déjà mis en danger par les filets des pêcheurs, la fonte des glaces représentent un autre danger pour cette espèce. Lors de la période des naissances, entre fin février et début mars, les femelles construisent un abri sur la glace avec de la neige afin de protéger leur progéniture.
Lors de ces trois derniers hivers, la glace et la neige sont arrivées tard et ont fondu plus tôt que d’habitude, ce qui a empêché les femelles de construire leurs abris et contraint les bébés phoques à devoir survivre sans protection, explique le directeur de la conservation du WWF Finlande, M. Luukkonen. C’est la raison pour laquelle beaucoup leurs bébés sont morts peu après leur naissance.
Entre 1990 et 2005, la population de phoques annelés était en augmentation, passant de 189 individus à 280. Mais ces dernières années, la population est retombée à 260. Cinquante à soixante phoques naissent tous les ans mais 30% d’entre eux meurent la première année.
Les filets de pêche représentent un piège mortel pour les jeunes phoques qui, apprenant à chercher leur nourriture, se coincent dans les filets et finissent étranglés. M. Luukkonen affirme encore que le phoque du Saimaa pourra très probablement survivre au changement climatique si l’on éliminait les filets de pêche.
Une loi restrictive est actuellement en vigueur dans le but de protéger le phoque de Saimaa. Elle devrait même se prolonger encore pour l’année 2009, cependant M. Luukkonen estime que restreindre la pêche est un problème à double tranchant. Cependant, il faut garder en tête que le phoque va disparaître si rien n’est fait .



Sources / En savoir plus :
“Fonte des glaces et pêcheurs menacent le phoque de Saimaa, rare en Finlande” sur le site du Point (02.11.2008)
L’article du site France24 (02.11.2008)
L’article Wikipedia sur le phoque annelé de Saimaa

Depuis la mise en place du tri sélectif, les déchets doivent être jetés séparément. Certains seront recyclés alors que d’autres seront éliminés.
Si en théorie presque tous les matériaux sont recyclables, ils ne le sont pas tous en pratique pour des raisons économiques. En effet, le recyclage des matériaux doit être rentable.
De ce fait certains produits, pourtant en plastique ou en carton, échappent au tri des déchets. C’est notamment le cas de pots de yaourts qui ne sont pas recyclés en France car ils sont trop légers et il n’y pas assez de matière à récupérer pour rentabiliser le recyclage.
Il en est de même pour les sacs, les films plastiques, les emballages qui doivent être jetés dans la poubelle traditionnelle. Faute de recyclage, ces déchets sont valorisés d’une autre manière : leur énergie calorique sera récupérée au moment de l’incinération.
Aujourd’hui en France, parmi les matériaux en plastique, seuls les bouteilles et les flacons font l’objet du tri sélectif.

Sources / En savoir plus :
Sur le recyclage
Savoir quoi recycler sur le site Ushaïa Terre

Le 4 novembre dernier, le Tribunal des affaires de la sécurité sociale (TASS) d’Angoulême a rendu une décision remarquable reconnaissant un lien de causalité entre une pathologie et une intoxication par un herbicide.
A l’origine de cette décision, un agriculteur de Charentes, Paul François, a été intoxiqué en avril 2004 par un herbicide alors qu’il nettoyait une cuve-pulvérisateur ayant contenu le produit.
Cet herbicide, appelé Lasso, a été produit par le groupe chimique américain Monsanto mais sa commercialisation est interdite en France depuis 2007 du fait de sa toxicité.
Suite à cette intoxication, de novembre 2004 à juin 2005, Paul François a subi des comas brutaux et a dû être hospitalisé à plusieurs reprises.
Ainsi, le Tribunal a considéré que l’intoxication, qualifiée d’accident du travail, est directement liée aux troubles de santé de l’agriculteur. Par conséquent, elle doit être qualifiée de maladie professionnelle et doit être prise en charge au nom de la législation professionnelle.
A l’heure où l’utilisation massive de pesticides en agriculture est dénoncée pour ses effets néfastes sur l’environnement et sur la santé de l’homme, ce jugement permet de légitimer l’action en justice des agriculteurs qui sont les victimes les plus directes de ces produits.


Sources / En savoir plus :
Article sur Le Point
Article du site “Actualités News Environnement”

“Après avoir traversé les neuf dixième de la planète, je n’ai pas payé un centime pour l’essence”, s’est réjouit Louis Palmer, concepteur du “Solartaxi”.

Ce véhicule conçu par quatre écoles d’ingénieurs suisses et fonctionnant à l’énergie solaire est un tricycle carrossé à deux places tractant une remorque recouverte de panneaux photovoltaïques.

Parti le 3 juillet 2007 de Lucerne en Suisse, il arrive gentiment au bout de son tour du monde. Il a déjà parcouru plus de 47′000 km traversant l’Europe, l’Asie, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et l’Amérique du nord.

En début de semaine, ce taxi solaire a fait une halte à Paris, au Ministère du Développement Durable, où des experts ont pu essayer l’engin et discuter avec son concepteur.

Tout au long de son périple, Louis Palmer a joué les taxis VIP. Le prince Hassan de Jordanie, le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, le maire de New York, Michael Bloomberg, le prince Albert de Monaco l’ont testé.

Ce véhicule, lors de son périple, n’a pas émis un seul gramme de CO2 ! De plus, ils n’ont pratiquement pas eu de panne. Ils ont juste perdu deux jours pour réparer une soudure.

Louis Palmer explique encore qu’il n’est pas tributaire de la météo. Il peut pleuvoir plusieurs jours de suite, cela ne l’empêche pas de rouler.

Il n’y a pas besoin d’en dire plus, c’est évidemment une idée avec un fort potentiel pour l’avenir !

Louis Palmer qui veut sensibiliser les constructeurs automobiles à l’énergie solaire, avait pris rendez-vous lundi chez Peugeot, Renault, Dassault (qui a mis au point la Cleanova électrique), et Bolloré (associé avec Pininfarina pour développer une voiture électrique). “Si une grande marque reprenait l’idée, on serait prêts”, assure-t-il.


Sources / En savoir plus :
Un article sur le Solartaxi sur le site Avenir du véhicule éléctrique méditerranéen (07.11.2008)
Un article sur le site Yahoo France Actualité (03.11.2008)

Le CO2, dioxyde de carbone, est le principal gaz à effet de serre contribuant au réchauffement climatique.

Deux scientifiques membres de l’Observatoire Lamont-Doherty à l’université Columbia de New York, le géologue Peter Kelemen et le géochimiste Jürg Matter, ont découvert qu’une pierre serait capable d’absorber le dioxyde de carbone et ainsi contribuer à ralentir le réchauffement climatique.

Leur étude sera publiée le 11 novembre dans la revue scientifique “Proceedings of the Natural Academy of Sciences” (Actes de l’académie de sciences naturelles).

Cette pierre aux propriétés absorbant le CO2, est la péridotite. Il s’agit de la roche la plus répandue dans le manteau terrestre, mais les plus vastes gisements se trouvent plus particulièrement dans la région d’Oman.

Selon les auteurs de l’étude, quatre à cinq milliards de tonnes de CO2 pourraient être stockées dans le sol près d’Oman par la péridotite en y faisant des forages dans lesquels on injecterait de l’eau chaude contenant du dioxyde de carbone pressurisé.

Sources / En savoir plus :
Sur la péridotite
Article de Libération