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Le 16 mars 2008, une fuite de canalisation dans la raffinerie Total de Donges (Loire-Atlantique) a provoqué le rejet d’environ 500 tonnes de fioul dont 180 tonnes s’étaient déversés dans la Loire. Plus de trois mois avaient été nécessaires pour nettoyer les 90 kilomètres de côtes souillées sur l’estuaire et le littoral.

Mardi dernier, la juge d’instruction de Saint-Nazaire a annoncé la mise en examen de la société Total pour “déversement de substances nuisibles” causant un “préjudice à la faune et à la flore” ainsi que pour “exploitation non conforme d’installation classée”.

A l’origine de ce contentieux, il y a plusieurs associations de protection de l’environnement, communes et collectivités locales. Pour Christophe Dougé, le délégué de Loire Vivante estuaire, désormais “l’auteur est identifié, maintenant il faut que la procédure aille jusqu’au bout pour ne plus que ça se reproduise“.

En effet les incidents se succèdent, une nouvelle fuite de fioul avait eu lieu à la raffinerie de Donges fin octobre 2008. Depuis ces faits, le groupe pétrolier a fait installer 31 caméras thermiques pour détecter toute présence anormale de chaleur sur ses installations en bords de Loire.

Ces pollutions rappellent la catastrophe de l’Erika pour laquelle le groupe pétrolier a été condamné pour “pollution maritime”.

Sources/En savoir plus :
L’article d’Environ2b (daté du 26.03.2009)
La dépêche AFP (datée du 26.03.2009)

Mercredi dernier, le Congrès américain a voté un ensemble de 160 lois de protection de l’environnement baptisé “Omnibus Public Lands Management Act” .

Grâce à ces lois, 800 000 hectares de parcs, rivières, déserts ou forêts répartis dans neuf Etats deviendront des réserves naturelles. L’exploitation du gaz naturel et du pétrole, entre autres ressources, y sera interdite.

Il semblerait que ce soit d’ailleurs ce point qui gêne certains adversaires de la loi, républicains pour la plupart.

Barack Obama n’a plus qu’à promulguer la loi, ce qui ne devrait pas se faire attendre étant donné l’enthousiasme du président qui l’a décrite comme “une des législations parmi les plus importantes depuis des décennies pour protéger, préserver et transmettre nos paysages naturels les plus précieux aux générations futures”.

Les 800′000 hectares protégés se situent dans les Etats de Californie, Idaho, Utah, Colorado, Oregon, Virginie, Virginie occidentale, Nouveau-Mexique et Michigan.

Sources / En savoir plus :
L’article du site bluewin.ch (daté du 26.03.2009)
L’article du site Europe 1 (daté du 30.03.2009)

A des milliers de kilomètres de la France, au Canada, les phoques sont chassés pour leur fourrure et pour leur graisse.

Et pourtant, ces mammifères ne sont pas si loin de la France et de l’Europe puisque c’est sur le vieux continent qu’environ 60% des produits à base de phoque canadiens finissent par être vendus, qu’il sagisse des fourrures ou des composés à base de graisse et d’huile.

Mais cette situation est peut-être sur le point de changer.

En effet, le Parlement Européen va bientôt voter une proposition de loi interdisant tout bonnement l’importation de la majorité des produits à base de phoque.

Certes, le phoque ne figure plus sur la liste des animaux en voie de disparition, mais les pratiques des chasseurs, qui parfois tuent l’animal à coups de gourdins à clous pour le dépecer alors qu’il est encore conscient, reste cruelle et source de souffrances bien inutiles.

Au nom du respect du bien-être animal, ce sont donc ces conditions d’abattage des phoques qui incitent la Commission à imposer une sanction commerciale.

Le ministère des pêches et des océans canadien s’est opposé à la décision du Parlement européen et envisagerait un recours devant l’Organisation mondiale du commerce (OMC).

Sources / En savoir plus :
L’article du Monde.fr (daté du 23.03.2009).
L’article d’Europe 1 (daté du 03.2009).

On connaissait déjà le “E 85″ (65 à 85 % d’éthanol) pour les véhicules flex fuel. Depuis le 1er avril, il y a un nouveau venu en France : le “E10″, composé jusqu’à 10%, d’éthanol et d’au moins 90% de sans-plomb 95.

La faible quantité d’éthanol contenu dans le “E10″ le rend compatible avec 60% du parc automobile actuel. Les véhicules incompatibles pourront continuer à rouler au SP 98 dont la distribution ne sera pas interrompue. Avec l’introduction de ce nouveau carburant, la France devrait réaliser son objectif de 7 % d’éthanol dans l’essence à l’horizon 2010.

Selon les prévisions de l’Union française des industries pétrolières (Ufip), 75 % des stations du pays distribueront le nouveau carburant d’ici fin 2009. Une mise en place plutôt lente dûe à l’impossibilité de transporter l’éthanol par oléoduc : il doit être acheminé jusqu’aux stations services par camion.

A peine arrivé sur le marché, le “E10″ ne fait pas l’unanimité.

D’après Arnaud Gossement, porte-parole de France Nature Environnement, “l’E10 n’est bon ni pour la planète, ni pour le portefeuille. Il coûtera sans doute le même prix que le SP 95 actuel mais il en faudra davantage pour rouler autant…,”. Il ne faut effectivement pas oublier que l’éthanol a un pouvoir calorifique (PCI) inférieur à celui de l’essence classique…

Entre son transport en camion, sa production qui concurrence l’agriculture, et son rendement inférieur à celui de l’essence, le “E10″ est loin de ce qu’on pourrait appeller un “biocarburant”.

Sources / En savoir plus :
L’article de La voix du Nord (daté du 25.03.2009).
L’article d’Actu-environnement (daté du 31.03.2009).

Cela fait maintenant des années que Naples et sa région sont citées dans les journaux télévisés non pas pour leur patrimoine culturel ou leurs paysages, mais bien pour… leur ordures.
En effet, la catastrophique gestion des déchets (pas d’incinérateur, trop peu de décharges, un tri sélectif quasi-inexistant…) a conduit à des crises à répétition en Italie depuis 1994.
C’est dans le but de remédier à cette situation qu’un incinérateur avec récupération d’énergie vient d’être inauguré dans la ville d’Acerra par Silvio Berlusconi.
Pour le président du Conseil des ministres italiens, cette mise en service “est le point de départ pour résoudre les problèmes de la Campanie”.
Si le “thermovalorisateur” dégagera de quoi fournir de l’énergie à 200 000 foyers tout en incinérant environ 600 000 tonnes de déchets par an, il ne fait pas l’unanimité.
Le jour de l’inauguration, plusieurs centaines de personnes ont manifesté contre l’installation de l’incinérateur. Soutenus par des associations de défense de l’environnement, les manifestants estiment que l’incinérateur est “une bombe écologique”, et les habitants voisins craignent pour leur santé.
Ajoutons à cela que l’évêque d’Acerra a refusé de bénir l’incinérateur, comme le veut la tradition, pour marquer son opposition au projet parce que selon lui “les déchets seraient brûlés sans être triés et que leur incinération représenterait un danger pour la santé et l’environnement”.
Malgré ses capacités, l’incinérateur ne pourra traiter qu’un tiers des déchets de la région Campanie.
Plusieurs autres incinérateurs devraient être installés dans la région de Naples, une zone placée depuis 1994 par le gouvernement en “état d’urgence déchets”.

Sources / En savoir plus :
L’article de Tsr.ch (daté du 26.03.2009).
L’article d’Euronews (daté du 26.03.2009).

C’est le site nucléaire Cadarache qui a récemment rejeté dans l’atmosphère une quantité d’iode radioactif près de trois fois supérieure à la limite mensuelle autorisée.

L’incident a eu lieu le 11 février dernier suite à un dysfonctionnement, a indiqué jeudi le Commissariat à l’énergie atomique (CEA).

“Pour tester l’efficacité de pièges à iode (sorte de filtres ndlr) on injecte de petites quantités d’iode radioactif. Le dispositif d’injection s’est bouché et l’iode s’est relâché dans un local qui est lui-même ventilé, c’est ainsi qu’il y a eu rejet à l’air libre”, a expliqué à l’AFP Henri Maubert du service de communication du CEA.

Malgré ce dépassement, le CEA assure que “L’anomalie n’a eu de conséquence ni sur le personnel, ni sur l’environnement”. Le CEA préconise d’ailleurs de classer l’incident au niveau 1 de l’échelle internationale INES qui en compte 7.

L’opérateur présent lors de ce dysfonctionnement a fait l’objet d’examens qui ont montré “l’absence de contamination corporelle”, selon le CEA.

L’incident s’est produit le 11 février mais il n’a été déclaré que le 24 mars à l’Autorité de sûreté nucléaire. Pourquoi un tel délai ?
D’après le CEA, “cette anomalie de rejet n’a été découverte que “lors de l’établissement du bilan mensuel des rejets, et non lors des vérifications intermédiaires hebdomadaires”

Sources / En savoir plus :
L’article du site Le Point (avec AFP, daté du 26.03.2009).
L’article du site developpementdurable.com (daté du 27.03.2009).

Ces trente dernières années, l’océan Atlantique a vu sa température augmenter.

D’après une étude de l’Université du Wisconsin publiée dans l’édition en ligne du journal Science datée du 26 mars, cette hausse de la température ne serait pas liée au réchauffement climatique.

Elle serait la conséquence d’une diminution de la quantité de poussière dans l’atmosphère. En effet, ces dernières années, il y a eu moins de tempêtes de sable au Sahara et une moindre activité volcanique dans les tropiques. Résultat, les particules en suspension sont moins nombreuses, et leur effet “écran solaire” est donc moins important.

C’est en combinant des données satellites sur les particules en suspension dans l’atmosphère avec des modèles climatiques que les chercheurs ont évalué les effets de la poussière sur la température à la surface de l’océan Atlantique.

Ils sont arrivés à la conclusion que “Une grande partie de la montée des températures depuis 26 ans à la surface de l’océan Atlantique ne peut s’expliquer que par (une diminution) des tempêtes de sable et de l’activité volcanique”, indique Amato Evan, un climatologue de l’Université du Wisconsin, principal auteur de l’étude. “La combinaison de ces deux facteurs explique environ 70% de cette hausse de la température et un quart est lié aux tempêtes de sable et poussière” en Afrique, précise-t-il.

Il ne reste plus qu’à trouver une façon de contrer les effets du réchauffement de l’Atlantique, qui favoriserait ,entre autres, la formation de cyclones…

Sources / En savoir plus :
L’article paru sur le site du Point (daté du 26.03.2009).
L’article du site belge 7sur7 (daté du 27.03.2009).

Le 6 avril aux premières heures du matin, le centre de l’Italie a été violemment secoué par un séisme d’une magnitude de 6.3 sur l’échelle de Richter.

Le bilan du tremblement de terre, qui a touché pas moins de 38 communes, est lourd : au moins 150 morts, 1.500 blessés et plusieurs centaines de disparus sont à déplorer.

Une soixantaine de personnes ont tout de même été dégagées vivantes des décombres des immeubles effondrés, et un village de tentes pouvant abriter 16.000 à 20.000 personnes a été monté afin d’accueillir les personnes sans abris. Silvio Berlusconi a pour l’instant refusé l’aide proposée par ses voisins européens.

La question de la prévention sismique est actuellement source de polémique en Italie alors que Giampaolo Giuliani, un technicien de l’Institut national italien d’astrophysique, prédisait depuis plusieurs jours des tremblement de terre sans être écouté.

Selon la Protection civile, plus de dix mille maisons et édifices ont été endommagés dans la région.

Les habitants des zones sinistrées craignent les répliques qui ne manqueront pas de faire suite au séisme meurtrier du 6 avril.

Sources / En savoir plus :
L’article du Figaro (daté du 06.04.2009).
L’article de la Tribune de Genève (daté du 04.2009).

La Commission européenne a créé une nouvelle distinction pour “reconnaître et récompenser” les villes qui font des efforts en matière de développement durable : le titre de capitale verte.

Pour 2010 et 2011, ce sont respectivement les villes de Stockholm et de Hambourg qui ont reçu le titre de “capitales vertes de l’Europe”.

Lorsqu’il a remis les prix, Stavros Dimas, le commissaire européen à l’environnement a déclaré :“Grâce aux mesures prises pour lutter contre la pollution atmosphérique et résoudre les problèmes de circulation et de congestion, d’émissions de gaz à effet de serre et de gestion des eaux usées et des déchets, Stockholm et Hambourg peuvent servir de modèles pour le reste de l’Europe”

En effet, les deux villes ont réalisé de belles performances : par exemple, les émissions de gaz à effet de serre par habitant à Stockholm ont été réduites de 25% depuis 1990, et sont tombées à la moitié de la moyenne nationale. La ville a pour ambition de ne plus recourir à l’énergie fossile d’ici 2050. Hambourg, quant à elle, a réduit ses émissions de CO2 par habitant de 15 % depuis 1990 et s’est fixée pour objectif une réduction de ses émissions de 40 % d’ici à 2020 et de 80 % d’ici 2050.

Les deux lauréates ont aussi fait la part belle aux espaces verts ainsi qu’aux moyens de transports publics afin de tenir compte à la fois de l’environnement mais aussi du bien-être de leurs habitants.

Il faut espérer que cette nouvelle distinction encouragera les villes européennes à être ambitieuses et à améliorer la qualité de la vie urbaine en tenant systématiquement compte de l’environnement.

Les villes pourront (re)déposer leur candidature pour le prix 2012 dès septembre 2009.

Sources / En savoir plus :
L’article du Monde.fr (daté du 02.04.2009)
L’article d’enviro2b (daté du 24.02.2009)
L’article de rtbf.be (daté du 24.02.2009)

Aujourd’hui en France, bureaux et habitations confondus, les bâtiments représentent 43% de la consommation d’énergie et 25% des émissions de gaz carbonique.

La consommation moyenne annuelle d’un bâtiment français est de 400 kWh par mètre carré (source Ademe).

Heureusement, les projets de bâtiments qui consomment peu (voire pas du tout) d’énergie se font de plus en plus nombreux.

Par exemple, la tour Elithis, dernière née de ces bâtiments d’un genre nouveau, a été inaugurée le 2 avril à Dijon. Ses cinq mille mètres carrés de bureaux répartis sur dix étages ne consommeraient, d’après ses concepteurs, que 20 kWh/m2/an.

Pour ne pas gaspiller d’énergie, la tour a été équipée d’une très bonne isolation thermique (murs extérieurs isolés avec une couche de cellulose, double vitrage…). Il est aussi prévu de récupérer la chaleur produite par les réfrigérateurs du restaurant, ainsi que celle générée par les systèmes informatiques que les clients ne manqueront pas d’installer.
Et pendant l’hiver, le soleil contribuera à chauffer les locaux, alors que l’été la résille métallique installée côté sud permettra de protéger la tour des rayons et de la chaleur solaires.

Enfin, pour compenser l’énergie dépensée, la tour produira la sienne. Grâce à quelques 560 mètres carrés de cellules solaires photovoltaïques, Elithis pourra générer 82.000 kWh par an.

Malgré toutes ces dispositions, le chauffage en hiver et la climatisation en été seront sans doute utilisés. Il tient maintenant aussi aux usagers d’adopter des comportements responsables (éteindre lumières et ordinateurs, emprunter l’escalier plutôt que l’ascenseur pour les petits déplacements…).

Dernier bon point pour Elithis :sles 1.600 capteurs qui suivent les consommations d’énergie et les variations de températures. De quoi faire rapidement le bilan de la consommation énergétique de la tour.

Sources / En savoir plus :
La vidéo du site (datée du 06.04.2009).
L‘article de Futura-sciences (daté du 08.04.2009).

Les déchets ménagers sont des produits en fin de vie qui vont être détruits mais ils peuvent toujours être sources d’énergie grâce à la valorisation énergétique.

Les ordures ménagères sont incinérées dans un four à plus de 1000 degrés Celsius, cette chaleur va produire de l’énergie qui sera récupérée sous forme d’électricité ou servira à produire du chauffage urbain. Il s’agit du processus de thermovalorisation.

Du point de vue de la protection de l’environnement, c’est un système avantageux qui permet d’économiser de l’énergie et qui contribue à la réduction des émissions de gaz à effet de serre. Toutefois des risques pour la santé et l’environnement sont souvent dénoncés, mais il faut souligner que la législation européenne très stricte sur les émissions de dioxines par les incinérateurs a permis de faire des progrès sur ce point.

Dans ce cadre, une société italienne ASM avait reçu en 2007 le titre de “meilleure installation du monde” de thermovalorisation respectant l’environnement. L’installation traite 760 tonnes de déchets par an ce qui permet de produire 510 millions de kWh électriques, pourvoyant ainsi à la consommation de 170 000 familles. Le thermovalorisateur fournit aussi de la chaleur pour 130 000 habitants.

Un même thermovalorisateur a également été inauguré récemment près de Naples pour résoudre les problèmes de gestion des déchets de la ville.

Sources/En savoir plus :
L’article d’Enerzine sur la société ASM (daté du 26.01.2007)
L’article du blog Greenquizz sur le thermovalorisateur construit près de Naples ( daté du 04.04.2009)

L’idée de l’instauration d’une taxe carbone aux frontières de l’Union européenne a été soutenue par la France lors des négociations pour l’adoption du paquet climat-énergie en 2008. Cette taxe carbone aurait eu vocation à s’appliquer aux importations provenant des pays qui ne font rien pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, notamment ceux n’appliquant pas le protocole de Kyoto. Mais la taxe carbone ne s’appliquerait pas au plan intérieur pour sanctionner les énergies polluantes mais seulement aux frontières.

Toutefois, cette mesure a fait naître une polémique et n’ a pas fait l’unanimité au sein de l’UE en 2008 car elle est accusée de favoriser le protectionnisme.

Au cours du mois de mars, la taxe carbone est revenue sur le devant de la scène au cours d’un discours de Nicolas Sarkozy. Selon lui, c’est une solution pour remédier au “dumping environnemental”. Jean-Louis Borloo avait rappelé que “c’est toujours à l’étude à 27 (pays de l’UE). La décision n’est pas prise, mais on considère que c’est une des réponses possibles” en fonction de l’évolution des négociations internationales.

Outre-Atlantique, la taxe carbone refait également son apparition où le secrétaire d’Etat à l’énergie, n’exclut pas d’y recourir “contre ceux qui ne prennent pas d’engagements pour réduire leurs émissions” de CO2.

Sources/En savoir plus :
L’article du Monde sur l’instauration d’une taxe carbone aux Etats-Unis
L’article de Europe 1 sur la taxe carbone dans l’UE

La rénovation du célèbre Empire State Building, qui domine le paysage new-yorkais depuis le 1er mai 1931, a déjà commencé.

Le bâtiment pris d’assaut par King Kong va être rénové pour la bagatelle de 20 millions de dollars. Un investissement puisqu’après les travaux, les propriétaires du gratte-ciel devraient économiser “4,4 millions de dollars chaque année en frais énergétiques et réduire de 105 000 tonnes sur 15 ans les émissions de CO2 du bâtiment”.

Au programme, 6500 nouvelles fenêtres qui réduisent la chaleur l’été et la perte de chaleur l’hiver, de nouveaux isolants, une ventilation plus performante, un éclairage basse consommation, et un nouveau système d’eau froide.

D’après Bill Clinton, qui a assisté à l’annonce de la rénovation, “la seule manière d’inciter les propriétaires dans le monde à améliorer l’efficacité énergétique de leurs bâtiments était de faire un exemple marquant les esprits. Nous devons prouver que c’est bon pour l’économie, et nous devons prouver que nous savons comment faire”.

Un constat d’autant plus pertinent que les travaux destinés à rendre plus écologiques de vieux bâtiments sont indispensables pour réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) à New York. En effet, le fonctionnement des 900 000 bâtiments (peu écologiques) de la Grosse Pomme représenterait 79% du total des émissions de GES de la ville.

Un défi que le maire veut relever : Michael Bloomberg s’est fixé l’objectif ambitieux de réduire l’empreinte carbone de New York de 30% d’ici 2030.

Sources / En savoir plus :
La news yahoo (datée du 08.04.2009)
L’article du site Cyberpresse (daté du 07.04.2009)

Le lagon de Nouméa est le plus grand lagon du monde abritant le plus grand nombre d’espèces végétales du Pacifique et l’une des plus riches forêts tropicales du monde. Pour préserver cette richesse naturelle, le site est inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis juillet 2008.

Pourtant, une société d’experts sous marins estime que le lagon est en danger à cause des 1600 mines datant de la seconde guerre mondiale s’y trouvant. Ces mines avaient été déposées dans le lagon à l’époque par les Alliés qui redoutaient une attaque dans le Pacifique, mais plus d’un demi siècle après elle représente une menace pour le site. En effet, chaque engin explosif est composé de 300 kilos de TNT et de 12 détonateurs, autant de composants chimiques pouvant nuire à l’environnement.

Aujourd’hui se pose le problème de l’avenir de ces engins de guerre placés au beau milieu d’un site protégé. Les experts et autorités ne sont pas d’accord sur le sort qui doit leur être réservé. Selon les experts, elles doivent être déplacées car ces mines sont une véritable menace pour l’environnement; alors que pour les autorités “tout enlever n’est pas un besoin en terme de sécurité”.
Sources/En savoir plus :
L’article de la chaîne verte Msn

Le 2 avril 2007, la Cour Suprême des Etats-Unis avait saisi l’Agence américaine de l’Environnement (EPA) afin de déterminer si les émissions de gaz à effet de serre émanant de nouveaux véhicules motorisés pouvaient provoquer une pollution de l’air risquant de mettre en danger la santé publique.

Suite à cette saisine pour un examen scientifique approfondi, l’EPA a rendu son avis le 17 avril dernier en reconnaissant le caractère dangereux pour la santé publique du CO2 et de cinq autres gaz à effet de serre : méthane, oxyde nitreux, hydrofluorocarbone, hydrocarbure fluoré et hexafluorure de soufre.

Les résultats de cet examen seront soumis à un consultation du public et une conclusion finale. Mais ils sont déjà très commentés car c’est une grande avancée aux Etats-Unis où l’administration Bush a toujours refusé de reconnaître les risques liés aux émissions de gaz à effet de serre.

De plus cette décision devrait faire naître une nouvelle législation , désormais ces 6 gaz à effet de serre seront régi par le Clean Air Act.

Grâce à ces résultats, l’espoir d’une lutte contre la pollution de l’air avec la coopération des Etats-Unis a pris naissance.

Sources/En savoir plus :
L’article de Romandie (daté du 17.04.2009)
L’article de Cyberpresse (daté du 18.04.2009)

En 2007, les Etats-Unis avaient la première place sur le podium mondial des plus grands consommateurs de pesticides suivi par le Brésil et par la France, qui reste le pays consommant le plus de pesticides à l’hectare. En 2008, le Brésil a pris la première place de ce classement.

C’est ce qu’a révélé récemment une étude de l’Association brésilienne de l’Industrie chimique selon laquelle le marché des pesticides a brassé plus de 6,9 milliards de dollars en 2008.

L’Agence brésilienne de Surveillance sanitaire (Anvisa) a quant à elle mené des analyses sur 1773 échantillons de 17 végétaux et fruits dans tout le Brésil. Son constat est alarmant : tous les échantillons contenaient des pesticides et plus de 15% dépassaient les limites maximales. Les conséquences sur la santé de cette forte présence de pesticides dans les aliments inquiète les autorités sanitaires brésiliennes car ce sont des substances classées comme cancérigènes, mutagènes ou perturbateurs pour le système hormonal.

Suite à cette analyse, l’Anvisa devrait renforcer la législation environnementale en interdisant la commercialisation de 13 substances qui sont bannies de l’agriculture de nombreux pays mais toujours utilisées au Brésil.

Sources/En savoir plus :
L’article de Cyberpresse (daté du 17.04.2008)

Aussi étonnant que cela puisse paraître, l’air intérieur de nos maisons et appartements est bien souvent plus pollué que l’air extérieur.

C’est ce qu’explique, entre autres, l’INPES (Institut national de prévention et d’éducation pour la santé) dans le cadre de sa campagne d’information. Une campagne indispensable puisque «Nous passons quatorze heures par jour en moyenne à notre domicile» rappelle l’Institut.

On savait déjà que les moisissures et autres résidus de tabac nuisaient à la qualité de l’air que nous respirons dans nos logements, mais on ignore souvent que les produits ménagers ou les produits de bricolage que nous utilisons régulièrement sont aussi une source de pollution. Sans parler de la moquette qui retient la poussière et les acariens ou encore les colles et les appareils de combustion qui diffusent des substances chimiques nocives. Autant de sources d’allergies, d’irritations ou de maux de tête.

Heureusement, pour que l’air de nos logements ne soit pas trop chargé de substances nocives, il y a des solutions simples comme par exemple ouvrir la fenêtre quotidiennement et aérer au moins dix minutes par jour.

L’idéal reste quand même de réduire les émissions de polluants à la source : fumer à l’extérieur ou encore ne pas utiliser en continu des appareils de chauffage d’appoint figurent parmi les recommandations.

Tous les conseils se trouvent sur le site www.prevention-maison.fr. La brochure peut également être commandée gratuitement.


Sources / En savoir plus :
L‘article du Figaro.fr (daté du 21.04.2009)

L’invasion biologique est considérée par l’ONU comme l’une des grandes causes de régression de la biodiversité. Les espèces invasives sont des espèces exotiques qui deviennent des agents de perturbation des écosystèmes en se trouvant hors du domaine géographique qu’elles occupent naturellement.

A titre d’exemple, on peut penser à l’invasion des fonds des côtes françaises méditerranéennes par l’”algue tueuse”, la caulerpa toxifolia, qui menace d’entraîner progressivement le déplacement de la faune et de la flore du fait de sa toxicité.

Ce type d’espèces envahissantes constitue un véritable problème pour l’environnement, pourtant aucune recherche n’avait fait juqu’à présent une appréciation globale de l’importance de la faune exotique établie en Europe.

Le projet européen DAISIE (Delivering Alien Invasive Species Inventories in Europe) mené de 2005 à 2008 a visé à combler cette lacune. Associant 15 institutions, dont l’INRA, le projet a répertorié 1517 espèces exotiques d’invertébrés terrestres provenant majoritairement d’Asie par le biais des eaux de ballast des navires ou de plantes importées. Il révèle également une tendance à l’accroissement et l’accélération de l’implantation d’espèces invasives au fil des années.

Une telle base de données permettra de mettre en place un plan de lutte efficace contre l’invasion biologique et facilitera la gestion des invasions.

Sources/En savoir plus :
L’article de l’INRA (daté du 23.01.2008)
La vidéo à propos de l’invasion de la caulerpa taxifolia en Méditerrannée sur le site d’Ushuaïa

Le “Grenelle des ondes” a démarré prudemment jeudi, avec l’ambition affichée du gouvernement de réduire la confrontation entre opérateurs de téléphonie mobile et écologistes, qui ont prévenu qu’ils attendaient des “décisions” au-delà du simple dialogue.

D’entrée, la secrétaire d’Etat à l’Ecologie Chantal Jouanno a semblé faire une concession aux écologistes, en évoquant devant la presse leur requête d’un moratoire sur l’implantation de nouvelles antennes pendant quelques mois.

Cette table ronde “radiofréquences, santé et environnement”, tenue au ministère de la Santé, veut essayer de répondre aux inquiétudes grandissantes dans la population sur l’impact des ondes sur la santé.

Ont été conviés une cinquantaine d’acteurs concernés par le sujet -représentants de l’Etat, associations, élus, syndicats, opérateurs…

Jean-Marie Danjou, délégué général de l’Association française des opérateurs mobiles (Afom), a souhaité que l’on sorte des “confrontations stériles” et des “dialogues de sourds”.

“Des acteurs commencent à se parler, il faut encore qu’il s’écoutent et s’entendent”, a noté Stephen Kerckhove, délégué général de l’association Agir pour l’environnement, qui “veut des décisions”. “Un simple guide des bonnes pratiques ou une charte, ça ne suffira pas”, prévient-il.

Les représentants du gouvernement se sont dits prêts à prendre le temps qu’il faudra, alors que le processus doit en principe durer jusqu’à fin mai, avec trois séances de travail et une réunion plénière de synthèse. “S’il faut plus de temps, nous prendrons plus de temps”, a assuré Roselyne Bachelot, ministre de la Santé.

Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d’Etat à l’Economie numérique, a reconnu que “personne n’est satisfait de la situation actuelle”, et que la réglementation “a besoin d’être remise à jour”.

Pour les responsables gouvernementaux, il est clair cependant que les risques sanitaires sont plus du côté des téléphones portables que des antennes. “Les portables sont notre priorité numéro 1″, a dit Chantal Jouanno. “On sera aussi ferme sur les antennes que sur les portables”, a rétorqué Janine le Calvez, présidente de l’association Priartem.

Pour cette première journée, les choses n’ont guère avancé. “On a débattu de la forme que pourrait prendre le débat, on en est aux balbutiements”, a relevé Stephen Kerckhove, pour qui “il faut de la réglementation”.

Source: AFP

La crépidule, Crepidula Fornicata, est un coquillage ovale de couleur gris à rose originaire de la façade Atlantique de l’Amérique du Nord. Elle a été introduite en Europe à la fin du 19ème siècle à l’occasion de transferts d’huîtres de Virginie vers l’Angleterre. Son introduction en France est liée aux évènements de la Seconde Guerre mondiale, lors du débarquement des alliés sur les côtes normandes.

Aujourd’hui, elle a envahi les côtes de la Méditerranée à la Suède, le golfe normand-breton étant le plus colonisé. Sa prolifération est problématique car elle favorise l’envasement des sites où elle vit en menaçant le biotope. Les professionnels de l’aquaculture sont également gênés par cette espèce invasive car elle se colle sur les huîtres ou coquilles Saint-Jacques en les empêchant de se nourrir et de se développer.

Selon l’IFREMER, la prolifération de la crépidule se poursuit et il est difficile d’enrayer cette évolution car c’est une espèce très résistante qui n’a pas de prédateurs.

Pour diminuer ce phénomène, la restauration a proposé la valorisation de ce mollusque en l’introduisant dans nos assiettes comme au Chili où il est consommé depuis longtemps. Bientôt, il sera distribué aux rayons surgelés des grandes surfaces sous le nom de”Kokiaj”.

Sources/En savoir plus :
Sur le site de l’IFREMER
L’article de Ouest France sur le “Kokiaj” (daté du 08.10.08)

Selon une étude internationale dont les résultats ont été publiés dans la revue Nature du 23 avril, les écosystèmes chinois ont absorbé entre 28 et 37 % des émissions de carbone d’origine humaines du pays entre 1981 et 2000.

L’étude a analysé des mesures de l’évolution de la biomasse aérienne (forêts) et du carbone dans les sols ainsi que les observations satellites de l’état de la végétation. Les estimations issues de ces données de terrain ont ensuite été confrontées, entre autres, à des mesures de concentration du CO2 atmosphérique. Enfin, différents modèles de fonctionnement des écosystèmes terrestres ont été utilisés pour quantifier la contribution du changement climatique et de l’augmentation du CO2 à ce bilan de carbone régional.

Il en ressort que sur la période 1981-2000, l’écosystème chinois a absorbé entre 0,19 et 0,26 gigatonne de carbone par an, soit 28 à 37 % des émissions de carbone issu des combustibles fossiles en Chine. Si ce pourcentage de séquestration est comparable à celui des USA (20-40 %), il dépasse celui de l’Europe (12 %). Il a cependant diminué depuis l’an 2000, compte tenu notamment de l’augmentation des émissions liées à la croissance du pays.

Favorisé par des programmes de reforestation et une modernisation des pratiques agricoles, le puits de carbone chinois est principalement situé dans le sud du pays, une région où les changements climatiques avec des conditions plus humides ont favorisé la croissance des plantes.

Sources / En savoir plus :
L’article de Maxiscences (daté du 25.04.2009)

Selon une étude publiée par la revue Nature le 23 avril dernier, la pollution atmosphérique limiterait le réchauffement climatique.

C’est un véritable paradoxe, alors que la pollution de l’air est la cause du réchauffement climatique, elle pourrait également le freiner. Les chercheurs britanniques à l’origine de cette étude expliquent cet étonnant constat de la manière suivante : il semblerait que la pollution atmosphérique aiderait les plantes à emmagasiner davantage de gaz à effet de serre.

Ce phénomène s’explique par la manière dont les particules réfléchissent la lumière. Si le ciel est pollué, la flore reçoit moins de rayons directs, mais une lumière dispersée par les particules agissant comme des petits miroirs laissant moins de feuilles, lieu de la photosynthèse, totalement dans l’ombre.

Sans cette pollution, la température moyenne à la surface de la Terre aurait augmenté de 1 ou 1,1 degré depuis le début de l’industrialisation, et non de 0,7 degré, selon Knut Alfsen, directeur du Centre de recherche international sur l’environnement d’Oslo.

Les résultats de cette étude font naître un dilemme en matière de priorités environnementales. Du point de vue de la santé humaine, la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre s’impose mais le risque d’un changement climatique serait alors plus important.

Sources/En savoir plus :
L’article du Monde (daté du 23.04.2009)
L’article du site Ushuaïa (daté du 23.04.2009)

Après la grippe aviaire, c’est maintenant la grippe porcine qui menace de faire des victimes parmi les animaux et les humains.

Les premiers malades sont décédés au Mexique où on recense plus de 140 morts liées à la grippe.
La maladie menace de se répandre dans d’autres pays puisque des voyageurs américains, canadiens et européens sont rentrés chez eux infectés.Lundi, l’ONU a fait état de 73 cas humains confirmés dans le monde et l’Organisation Mondiale de la Santé, a confirmé que la grippe porcine présentait un «potentiel pandémique».

Diverses mesures sont mises en place pour contenir la maladie : le gouvernement mexicain a annoncé la suspension jusqu’au 6 mai des classes dans les établissements scolaires, les autorités sanitaires américaines ont déclaré dimanche l’«état d’urgence sanitaire» après que 40 cas ont été confirmés dans cinq Etats (New York, Ohio, Kansas, Texas, Californie). L’UE appelle aussi à la vigilance en encourageant les Européens à éviter les déplacements «non indispensables» dans les zones affectées par l’irruption de grippe porcine (pour l’essentiel le Mexique et certains États américains).

Selon les scientifiques qui ont mis plusieurs semaines identifier le virus, il s’agit d’une mutation inédite, «dans des gênes jamais rencontrés auparavant». La souche mutante responsable de l’épidémie, A/H1N1, combine des éléments des virus grippaux porcin, aviaire et humain.

Maladie respiratoire de type viral qui s’attrape dans les élevages de porcs, la grippe porcine se transmet ensuite d’homme à homme par voie aérienne. Heureusement, ce virus peut se traiter avec le Tamiflu, médicament déjà employé pour la grippe aviaire. Un vaccin pourrait être rapidement mis au point.

Sources / En savoir plus :
L’article du Figaro (daté du 27.04.2009).
L’article de TF1 LCI (daté du 26.04.2009).

Depuis son élection, le président des Etats-Unis, Barack Obama, a manifesté sa volonté de se différencier de son prédécesseur sur le plan de la protection de l’environnement, notamment en ce qui concerne la lutte contre le réchauffement climatique.

Pour cela, il a organisé à Washington la réunion des diplomates des plus grands pays pollueurs de la planète qui s’est déroulée ces deux derniers jours. Les pays invités étaient les plus gros émetteurs de gaz à effet de serre : l’Afrique du Sud, l’Allemagne, l’Australie, le Brésil, le Canada, la Chine, la Corée du Sud, le Danemark,les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne, l’Inde, l’Indonésie, l’Italie, le Japon, le Mexique, la Russie et l’Union européenne.

L’objectif de ce rassemblement était de préparer le terrain de l’après Kyoto qui nécessitera la prise d’un accord des Nations Unies sur la réduction des gaz à effet de serre lors de la future conférence de Copenhague.

Le gouvernement de Barack Obama multiplie les actions en faveur de la lutte contre le réchauffement climatique, ce qui est salué par les défenseurs de l’environnement qui considèrent que l’engagement des États-Unis est déterminant pour tout accord mondial.

Sources/En savoir plus :
L’article de L’Express (daté du 27.04.2009)

Une entreprise allemande a mis au point une housse pour téléphone portable qui semblerait protéger des ondes et qui est commercialisée en France par la société Aqua énergie depuis juillet 2008.

Il s’agit de l’ewall, “electronic wall”, une housse confectionnée dans un tissu réalisé à base de fil d’argent traité par des nanotechnologies et ayant la propriété d’agir comme un miroir réfléchissant pour les ondes.

Selon ses créateurs, ce produit novateur protègerait à 99,9% des ondes électromagnétiques émises par un téléphone portable. Une efficacité qui a été approuvée par les scientifiques de l’université militaire de Munich. Mais d’autres réservent leur avis, comme Joël Hammelin, conseiller scientifique de la Fondation santé et radiofréquence, qui trouve le produit sérieux mais se garde cependant de lui accorder un avis totalement favorable s’interrogeant sur l’efficacité de ce produit avec des téléphones munis d’une antenne qui dépasse du combiné.

A l’heure des discussions sur la dangerosité des ondes, un tel étui “anti-ondes” est le bienvenu en attendant les mesures qui seront prises à l’issue du Grenelle des ondes.

Sources/En savoir plus :
Le site officiel de l’Ewall
L’article du Monde (daté du 27.04.2009)